Tendez l'oreille...

dimanche 23 février 2014

Legawesome !



Hello Hello :-)

Hier soir je suis allée voir le tant attendu film LEGO, qui laissait présager une bonne grosse marrade en regardant la bande-annonce...et la réalité était encore au dessus de ça!!!

J'ai A-DO-RE!!!

Alors oui, certains me diront que ce n'est qu'une pub de 1h40 payante pour LEGO, mais je leur répond que c'est bien plus que ça! Certes, ça ne pourra que faire du bien à la marque mais c'est secondaire.
Loin de n'être adressé qu'aux enfants, le film regorge de second degré et de références geek que les petits ne peuvent pas saisir ("Release the Kraggle!"), et on sent bien que les réalisateurs du premier volet de Tempête de boulettes géantes sont aux commandes! Quelle créativité et quel sens de l'humour!

L'intrigue est plutôt simple mais suffit amplement pour ce film qui existe surtout dans tous les à côté, les répliques qui tuent, les séquences cultes, etc. On ne s'ennuie pas une seconde et un fou-rire en chasse un autre...un pur moment de bonheur quoi! C'est un véritable concentré de pop-culture avec 15 références à la seconde et qui mériterait probablement qu'on ne regarde plusieurs fois pour toutes les saisir. Les années 90, la culture geek, les références cinématographiques, ce film est celui de la génération Y!

Visuellement, on aurait pu s'attendre à de la grosse daube, avec un rendu digne des séries Barbie en 3D, mais là aussi le résultat était au delà de mes espérances! Une mise en scène soignée, hyper dynamique, de beaux effets de caméra, et une lumière magnifique. Le tout filmé comme un stop-motion, et le tour est joué, on en prend plein les mirettes et on se retrouve avec un sourire bêta vissé sur la figure pendant toute la séance!

En plus d'être drôle, le film recèle aussi des moments d'émotions inattendus et très forts! (si si si, je vous jure!) A travers ce film, LEGO fait une véritable déclaration d'amour à la créativité, à tous ceux qui ont joué avec ces petites briques un jour, et à ceux qui sortent des cases pour créer leur propre univers.

Bref, c'est beau, c'est drôle, c'est fin, et c'est le nouveau film culte pour tout geek qui se respecte ;-) A voir en V.O de préférence bien sûr, j'ai rien contre TAL mais bon.... :-D

Vous savez ce qu'il vous reste à faire ;-)



dimanche 16 février 2014

Le Japon aux 1000 visages



Le hasard a voulu que j'enchaîne 2 livres d'auteurs japonais (oui bon, me connaissant ce n'est peut-être pas un hasard...), et qu'ils me plaisent tous les deux malgré leur très grandes différences, je vais donc vous en toucher deux mots parce qu'ils valent le coup!

Underground - Haruki Murakami - Editions 10/18 - 9,10 €

Loin de ses romans oniriques habituels, Murakami nous plonge au coeur d'une des plus graves attaques terroriste qu'à connu le monde au 20e siècle: l'attentat au gaz sarin dans le métro de Tôkyô, commis par des fanatiques de la secte Aum.
Il nous livre un documentaire hyper méticuleux sur ces événements, d'une multitude de points de vue, un peu à la 24h chrono.
Dans un premier temps il a tenté de retrouver le plus de victimes de l'attentat, où de gens qui étaient présents dans le métro à ce moment là, et leur a proposé de témoigner. Le livre a été fait peu de temps après les attentats (et a mis 16 ans à être traduit!!!) et le traumatisme encore très présent dans la mentalité collective ainsi que la manière dont les événements ont été traités par les médias a dissuadé beaucoup de japonais de participer.

Néanmoins, une soixantaine d'entrevues avec Murakami ont été compilées et organisées suivant les lignes de métro affectées. 
Le livre se découpe donc en une succession de témoignages par ligne de métro dans un premier temps, et par des témoignages d'anciens adeptes d'Aum dans la 2ème partie du livre.

Les témoignages des victimes portent sur le déroulement des événements selon leur expérience personnelle, les dégâts commis par le sarin sur leur santé (immédiats et à long terme), leur sentiment par rapport aux coupables et à leur action. 

La multitude de témoignages hyper détaillés restitue plus fidèlement les événements que n'importe quel reportage télé, et en dit long sur la société japonaise et sa mentalité, mais aussi sur les dangers de la manipulation mentale dont peuvent faire preuve certaines sectes, jusqu'à conduire leurs adeptes à commettre des actes aussi malveillant sans questionner leur libre arbitre.
Le documentaire pointe aussi du doigt l'inorganisation des autorités et des services sanitaires qui ont été beaucoup trop longs à être opérationnels, d'autant que peu de temps avant cette attaque, une attaque similaire mais d'ampleur beaucoup plus réduite avait été commise à Matsumoto, et déjà par la secte Aum!
Il questionne également la responsabilité de la société japonaise en général qui choisissait de "détourner les yeux" lors des apparitions publiques ce dette secte qui les mettait mal à l'aise, au lieu de s'en préoccuper et de tenter de la freiner avant que de tels événements ne se produisent.

La seconde partie est d'ailleurs très intéressante également puisqu'elle permet de mieux comprendre ce qui a mené à ces événements à l'intérieur même de Aum, même si beaucoup de choses restent dans le flou, les personnes interrogées n'étant pas des têtes pensantes du mouvement. Elles sont néanmoins des témoignages clés pour saisir l'organisation de ce genre de secte, la mentalité qui y règne, et ce qui peut conduire quelqu'un à l'intégrer.

En bref, Underground est un récit passionnant sur un événement réel et assez effrayant (je ne prend plus le métro de la même manière...) et j'admire la méticulosité dont Murakami a fait preuve, et sa capacité à interroger les victimes et les bourreaux de manière impartiale.
Le seul petit bémol qui pourra freiner certains est que malgré les différences entre chaque témoignage, on fini toujours par retomber sur certaines redites, et donc à moins d'être vraiment passionné par le sujet il pourra vous arriver d'avoir envie de sauter quelques pages...


L'âme de Kôtaro contemplait la mer - Medoruma Shun - Editions Zulma - 21 €

Le titre de ce recueil de nouvelles laissait présager poésie et mélancolie...et bien je n'ai pas été déçue!

Loin des mégapoles fourmillantes de Haruki Murakami, c'est dans l'archipel d'Okinawa que se déroulent ces petits récits. En les lisant j'ai appris qu'à la fin de la seconde guerre mondiale, après la bataille d'Okinawa qui a fait des milliers de morts, cet archipel avait été occupé par les Etat-Unis pendant 25 ans (!) avant d'être rétrocédé au Japon. C'est donc pendant cette période très spéciale que nous sommes immergés, les jeunes Okinawaïens ne se sentant ni japonais, ni américains, et les G.I américains restant très présents sur l'Île.
Par ailleurs, l'île est celle qui est le plus au sud du Japon, le climat y est donc subtropical. La faune et la flore y sont très colorés, et beaucoup plus exotiques que ce qu'on peut trouver au japon "traditionnel", et donne lieu à des descriptions de lieux magnifiques où vivent des animaux dont on n'a jamais entendu parler sous nos latitudes.

Chaque nouvelle est influencée par les légendes et le folklore de ces îles, on croise donc d'étranges créatures et prêtresses au long des pages, distillant une ambiance très particulière d'exotisme mystérieux.

Hormis la première histoire qui donne son nom au recueil qui m'a moyennement plu, j'ai été vraiment subjuguée par le reste des nouvelles, au point d'être frustrée que le récit s'arrête. J'aurais bien lu le roman qui raconterait en entier chaque intrigue!

Les thèmes sont très variés: entre un corps dont l'âme est partie en vadrouille et occupé par un étrange homard, les premiers émois amoureux d'un jeune garçon pour un autre, une amitié secrète entre le vieux fou du village et un jeune garçon à qui il va révéler ses secrets, une histoire impitoyable de combats de coqs et de mafia locale, et le récit mélancolique d'une jeune femme capable de voir les fantômes qui n'ont pas encore quitté le monde, on découvre donc une foultitude de détails sur la vie dans cet archipel, le tout sous une plume tantôt orale, tantôt lyrique, mais toujours pleine de nuances, de sensibilité et de surprises.

Ce qui reste après la lecture de ce recueil c'est vraiment cette identité métissée Okinawaïenne, très forte! J'ai prévu de faire un voyage au Japon dans les années qui viennent, et j'ai rajouté sans hésiter une étape par l'archipel d'Okinawa!


Voilà, j'espère vous avoir donné envie de visiter ces contrées littéraires surprenantes et dépaysantes, je vous souhaite un bon dimanche!

lundi 10 février 2014

ça va saigner!


Hello tout le monde!

Beaucoup de films à la barre aujourd'hui, et le moins qu'on puisse dire c'est que tout le monde va en prendre pour son grade...Non pas que je sois de mauvais poil, mais je mets un point d'honneur à être honnête avec vous :-D

Et c'est parti mon kiki ;-)

Le vent se lève





On commence par le très attendu dernier né des studios japonais Ghibli, et surtout le tout dernier film d'animation de Hayao Miyazaki qui est censé prendre sa retraite. Bref, beaucoup d'enjeux pour les studios et pour la réputation du monsieur.
Etant moi-même une grande fan, j'ai rêvé devant Princesse Mononoke, versé 50 litres de larmes devant Le château ambulant, et toujours rêvé de prendre le chabus en compagnie de Totoro....bref, j'avais de trèèès grosses attentes!
Et forcément...j'ai été déçue! Première déception déjà, le film n'est pas dans la veine des précédents, ici pas de créatures magiques ou rigolotes, on est bien ancrés dans la réalité et dans le passé japonais. Important à savoir: ce dessin animé n'est pas pour les enfants!
Bon, soit, mais je peux passer au dessus de ça si le film est bon. Malheureusement ce n'est pas l'impression qu'il m'a laissé!
Déjà, c'est loooong, mais c'est LONG! L'histoire manque cruellement de repères chronologiques qui auraient rendus le film plus intéressant. On comprend bien que ça se passe juste avant la seconde guerre mondiale mais le sujet n'est "clairement" évoqué qu'une seule fois au détour d'une phrase, et c'est tout! On n'a aucune échelle de temps, 10 années se passent entre le moment où le héros devient ingénieur et la fin de l'histoire, et à aucun moment on ne nous fait sentir que le temps passe. Par contre, magie du cinéma, on trouve ça long quand même.
Le sujet -la passion dévorante du héros pour les avions, qu'il rêve de construire depuis qu'il est petit- , même s'il ne manque pas d'intérêt pour les fans d'aviation qui seront aux anges, laissera probablement les autres spectateurs de glace.
Ensuite, tant qu'à faire un film avec un fond politique, il aurait été intéressant que le héros se pose réellement la question de l'usage qui va être fait de son projet d'avion.(à savoir, équiper l'armée japonaise pour participer à la guerre). Au lieu de ça, il rêve régulièrement d'avions qui larguent des bombes, mais il n'évoque jamais le sujet lorsqu'il est éveillé, pas même lorsqu'il se rend en Allemagne pour se renseigner sur leurs technologies. Lui, tout ce qui l'intéresse, c'est que son avion vole, point barre. Les compréhensifs diront que c'est un rêveur et un passionné, moi j'appelle ça un inconscient.
Rajoutez par dessus ça une fin toute pourrie qui n'inspire qu'une seule réaction (= "A quoi bon?"), des personnages wtf qui auraient pu être intéressants, qui apparaissent et disparaissent n'importe comment (le mec qui bouffe du cresson par exemple)....bref..déçue je vous dis!
Ah j'allais oublier! J'ai rarement vu un film où on fume autant! Les personnages s'en grillent une toute les 2 minutes, j'étais contente de ne pas être fumeuse, je pense que les fumeurs ont dû ressortir de la séance et se taper 1 paquet en 5 minutes! Mais bon, j'imagine qu'à l'époque où se déroule l'histoire, ça devait être à la mode!
Bon après tout n'est pas à jeter, visuellement c'est magnifique comme d'habitude, la musique est belle aussi, les bruitages sont surprenants (beaucoup sont fait à la bouche), certaines scènes sont très impressionnantes et l'histoire d'amour est mignonette (mais laisse un goût amère...).
Mon avis diffère sans doute beaucoup de ce qu'on peut lire dans la presse mais j'imagine qu'on ne pouvait décemment pas enfoncer l'ultime projet d'un cinéaste aussi respecté que Miyazaki...

L'île des Miam-nimaux (Tempête de boulettes géantes 2)
Celui-là, je l'attendais depuis des mois! J'étais donc excitée comme une puce hier en attendant que le film démarre, plus intenable que la cinquantaine de gamins qui nous entouraient! J'avais ADORE le premier film, et j'avais peur une fois encore d'être déçue...ce qui a bien sûr été le cas ^^
On retrouve donc les personnages où on les avait laissés, après la grande tempête de bouffe sur l'île qui ressemble maintenant à un immense buffet à ciel ouvert. Je ne vais pas vous détailler l'histoire qui manque totalement d'originalité, mais plutôt vous parler de ce qui fait la force du film: le bestiaire alimentaire!
Et oui, la machine créée par Flint Lockwood n'est pas morte, elle génère maintenant des créatures faites de nourriture qui évoluent sur cette île. Nos héros vont donc croiser des féroces Cheddaraignées (des arachnides en forme de burger avec des pattes frites!), se faire piquer par des moustitoast, admirer le vol des Flamangues et croiser des petits têtards en forme de chamalows trop mignons (et aussi Fraizy la fraise)! Et j'en passe, il y a une foule d'animaux différents, on aimerait passer des heures à explorer l'île pour tous les découvrir.
Visuellement, le rendu est chouette et les animations hyper fluides et rajoutant du comique aux personnages dans leur manière de bouger.
Malheureusement, à côté de cette créativité débordante, il n'y a que le néant. Comparée à l'intrigue et aux dialogues du film précédent, tout ici est vide, dans le 1er degré uniquement. Disons que pour un enfant de 6 ans ça ne pose pas de soucis, mais j'avoue qu'à mon âge je suis un peu plus exigeante! Vous allez me dire que je n'ai qu'à pas aller voir des films pour enfants (et c'est celui qu'y dit qu'y est!) mais la plupart de ceux qui sont fait aujourd'hui ont plusieurs niveaux de lecture et des blagues qui font rire les adultes aussi, et c'était le cas du premier. Peut-être la faute au changement de l'équipe de réalisation, ceux du premier ayant préféré se consacrer entièrement au film Lego qui sort prochainement, et qui lui à l'air hilarant!

Enfin, la cerise pourrie sur ce gâteau déjà bien moisi, c'est le changement des voix de doublage françaises. Déjà que j'avais eu du mal à continuer de regarder Friends quand ils avaient attribué une voix de crécelle à Rachel, mais là c'est encore pire. Le premier avait été doublé par des doubleurs professionnels, pas comme la tendance actuelle de tout faire doubler par des acteurs stars. Mais comme le succès était au rendez-vous, le second film n'y a pas échappé! Tout le monde a changé de voix: Jonathan Lambert est le plus convaincant mais la pétillante Sam Sparks se retrouve doublée par Pauline Lefèvre qui lui donne l'air débile, et le pire c'est le caméraman Manny qui avait un accent portugais dans le premier, qui se fait doubler par (tenez-vous bien) Cyril Lignac, et prend donc un accent bien forcé du sud-ouest par la même occasion!!! Là je dis NON, laissez le doublage aux professionnels! Bref, une fois de plus cela nous montre l'importance de regarder les films en V.O.
Bon, là je vous l'accorde ça n'aurait pas été fair-play vu qu'on devait être parmi les seuls à savoir lire dans la salle........



American Bluff
ça y est, on passe enfin dans la cour des grands, fini les dessins animés (pour aujourd'hui....)!
American Bluff nous plonge dans une immense arnaque inspirée d'une histoire vraie, où bien sûr on se demande pendant tout le film qui finira par se faire bananer par l'autre. Malheureusement le gros atout du film réside dans le casting en béton, et pas dans le scénario qui manque de mordant et nous offre une fin sans grand panache. Malgré quelques belles scènes de tension, on est loin du retournement de cerveau à la Ocean Eleven!



Heureusement, la brochette d'excellents acteurs rattrape quand même le coup et offre un beau moment de cinéma. Le réalisteur David O. Russel (Fighter, Happiness Therapy) se fait plaisir en mélangeant les castings de ces 2 films en réunissant Christian Bale, Bradley Cooper, Amy Adams, Jennifer Lawrence, Robert de Niro et d'autres, et il faut avouer que ça a de la gueule.
Christian Bale, parlons-en! Il a beau se traîner une réputation de connard fini, on ne pourra pas lui enlever son professionnalisme. Après avoir perdu des dizaines de kilos pour The machinist (que je vous conseille vivement!) ou encore Fighter, il a cette fois-ci pris plus de 18kg pour le rôle de Irving Rosenfeld! Il apparaît donc avec un gros bide et des doigts tout boudinés, impressionnant! Les autres acteurs, sans avoir subis de transformation physique impressionnante, n'en sont pas moins bons. Amy Adams est hypnotisante, Bradley Cooper frise le ridicule avec talent, et Jennifer Lawrence prouve une fois de plus que du haut de ses 23 ans elle ne manque pas de talent (et de drôlitude)!
L'esthétique du film qui se déroule dans les années 70 est hyper soignée, on ressort les permanentes, les cols pelles à tarte et les rouflaquettes, la grande classe américaine! Le tout souligné par une B.O aux petits oignons concoctée par Monsieur Danny Elfman...le caviar quoi! Bref, il est d'autant plus dommage que l'histoire ne suive pas...

The Ryan Initiative
Je suis allée voir ce film sans rien savoir de lui à part le casting, et plutôt pour faire plaisir à mon cher et tendre. J'ai appris après qu'il s'agissait d'un reboot d'une série de film tournés il y a plus de 10 ans, mettant en scène le même héros (Jack Ryan) mais avec d'autres acteurs, adaptés de romans d'espionnage de Tom Clancy. Bref, pas trop ma came donc dès le début je partais avec un peu d'à priori. Je ne vais pas trop développer sur ce film vu que j'ai déjà bien déblatéré sur les précédents, et que je n'ai pas grand chose à dire.
Disons que c'est un film qui sans être mauvais ne vous laissera pas de souvenir particulier, un film d'action parmi tant d'autres. Le casting (Chris Pine -le parfait américain-, Keira Knightley -petite chose fragile et classe-, Kevin Costner -sans grande consistance- et Kenneth Brannagh en gros méchant-et accessoirement aussi réalisateur du film-), sans être nul, ne brille pas par sa performance. La seule chose un peu rafraîchissante du film est dans le fait qu'Hollywood fait une petite pause dans sa chasse aux Talibans pour retourner aux bonnes vieilles valeurs sûres, la lutte contre les méchants Russes!
Bref, ça se regarde un après-midi de pluie, et si vous aimez les films d'espionnage et d'action, ou pour faire plaisir à votre moitié sinon passez votre chemin!

Voilà, j'en avais des choses à dire cette fois-ci! Pour ceux qui sont allés jusqu'au bout, merci! N'hésitez pas à me parler de votre ressenti et de vos avis sur les derniers films que vous avez vu!

A plus dans le bus :-D